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Correction de l'examen blanc sur les Borgs
Episode I.
I.1. Limites des longueurs
d'onde du domaine visible : 400 nm < lvisible
< 800 nm 0,25 point
I.2. Conversion 9 mm = 9 000 nm et 11,5 mm = 11
500 nm. Ces valeurs sont supérieures à 800 nm (Rouge),
les radiations du laser Borg
appartiennent au domaine des I.R. (Infrarouges). 0,5 point
II.1. Il s'agit du phénomène
de diffraction. 0,25 point
II.2. La taille de la fente doit être de l'ordre de grandeur
de la longueur d'onde. a < l. 0,5 point
II.3. Le texte indique que d est proportionnel à l, alors
on peut éliminer la formule (3) car dans ce cas d est
proportionnelle à 1/l.
De plus la (2) et la (5) ne sont pas valables car par analyse
dimensionnelle on constate que la relation n'est pas homogène
à la dimension d'une longueur. 0,5 point
III. On constate que d est
proportionnel à 1/a (droite passant par l'origine) alors
seule la formule (1) est encore possible. 0,5 point
IV.1. Il faut tracer la courbe
d = f(D). 0,25 point
IV.2. Pour déterminer
le coefficient p de la droite, on calcul le quotient de la différence
des ordonnés sur la différence des abscisses. 0,25
point
0,5 point
0,5 point
IV.3.
0,5 point
V. A partir de la relation
1,
on a :
0,5 point
Episode II
I.1. Il ne s'agit pas d'une
onde mécanique car elle n'a pas besoin de milieu matériel
pour se propager. 0,25 point
I.2. La célérité de l'onde ne dépend
pas de sa fréquence car le milieu est non dispersif. 0,25
point
I.3. La longueur d'onde dépend de l'indice du milieu car
l0
/ lmilieu
= n 0,25
point
II.1. On visualise la tension
aux bornes du condensateur. 0,25 point
II.2. On visualise la tension
aux bornes de la résistance c'est à dire l'intensité
du courant car on a
uR = Ri. 0,25 point
II.3.a. On applique la loi d'additivité des tensions :
uL + uC = 0 alors
avec i = dq / dt 0,5 point
II.3.b. L'équation différentielle vérifiée
par uC est :
avec q = Cuc 0,5 point
II.3.c. Vérifions que
est bien une solution de l'équation différentielle.
Dans un premier temps, dérivons deux fois uC ,
alors 
Dans un second temps, remplaçons
dans l'équation différentielle les expressions
de uC et de
:
0,25 point
Factorisons

Dans un troisième temps, déterminons l'expression
de T0. A tout instant cette équation est vérifiée
si 
Alors
0,25 point
Dans un quatrième temps,
déterminons Um et f0
en se plaçant dans les conditions initiales.
A t = 0 on a
= 0
alors uc = Um.
et f0 = 0 0,25 point
Alors 
II.4. (1) = (2)
=
(3) = 0 (4) = (5)
=
0,75 point
(6) =
III.1. =
12,6 x 10-3 s = 12,3 ms
= 5,6 x 10-3 s = 5,6 ms 0,75 point
III.2. On détermine
les périodes propres par mesure de la durée entre
2 pics et on divise par 2.
On trouve : T01 = T02 = 13 ms et T03 = 6
ms. 0,75 point
III.3. Dans les expériences
E1 et E3 les valeurs de L et de C sont les mêmes, alors
la période est la même,
ils s'agit donc des graphiques a et b. De plus le graphique b
est plus amortie alors il s'agit de
l'expérience 1
car la résistance est plus élevée.
Graphique a : E3
Graphique b : E1
Graphique c : E2 0,75 point
Episode III
1. nborg-H
= m / M = 2,8 x 10-3 mol. D'autre part on dispose
de 10 mL d'antidote A de concentration 0,5 mol.L-1
alors
n = C V = 0,5 0,010 = 5,0 x 10-3 mol 0,5 point
La quantité d'antidote est bien supérieure à
la quantité de Borg-H.
2. On a pV = nRT alors = 1,27
x 10-7p 0,5 point
3. La vitesse volumique instantanée de formation du gaz
est v = 0,5
point
On détermine graphiquement le coefficient de la tangente
à la courbe à la date t0.
On trouve
= 2,5 x 10-5 0,5 point
Alors v = 2,5 x 10-5 / 0,300 = 8,33 x 10-5
mol.L-1.s-1 0,5 point
4. On constate que la vitesse est pratiquement nulle au-delà
de 500 s, on peut alors considérer que la réaction
est terminée. 0,5 point
5. Le temps de demi-réaction
est la date à laquelle on a xmax / 2 ; par lecture graphique,
on trouve 0,0025 / 2 = 0,00125 mol
qui correspond à la date t1/2 = 60 s. 0,5 point
6. on trouve par lecture graphique
n = 0,0025 mol. 0,5 point
7. La réaction étant
équimolaire, on a n = nBorg-H
= 0,0025 mol. 0,5 point
8. mBorg-H =
nM = 0,0025 x 180 = 0,450 g ; Le Borg-H n'a pas été
complètement consommé. 0,5 point
Episode IV
1.1. A partir de la définition
du pH, on a [H3O+] = 10(-pH) = 10(-2,9) = 1,26 x 10-3mol.L-1
0,5 point
1.2. Borg-H + H2O
= H3O+ + Borg- 0,25 point
1.3. xf = [H3O+]eq x V = 1,26
x 10-3x 0,500 = 6,30 x 10-4 mol. 0,5
point
1.4. xmax = cS V = 5,55
x 10-3 x 0,500 = 2,78 x 10-3 mol. 0,5 point
1.5. =
0,23 0,5 point
2.1. On peut négliger les ions hydroxyde HO- qui sont
en très petite quantité.
L'expression de la conductivité devient alors s
= l H3O+.[H3O+]
+ l Borg-.[Borg-] 0,25 point
2.2. La réaction étant
équimolaire, on a [H3O+] = [Borg-] alors s
= l H3O+.[H3O+] + l Borg-.[H3O+] = [H3O+](l H3O+ + l
Borg-.)
donc ;
l'avancement final est égal à
xf = 0,5
point
2.3. xf = =
5,7 x 10-4 mol. 0,5 point
2.4. [H3O+]eq =
= 1,14 x 10-3 mol.L-1
[Borg-]eq = [H3O+]eq = 1,14 x 10-3mol.L-1
et [Borg-H]eq = cS - [Borg-]eq = 5,55 x 10-3- 1,14 x 10-3
= 4,41 x 10-3mol.L-1. 0,75 point
2.5.
= 2,95 x 10-40,5 point
3. Par la technique pHmétrique,
pour un écart de 0,2 unité pH, on a un écart
important entre les avancements finaux, tandis que pour un écart
de 2 mS.m-1 par conductimétrie, on a une différence
faible entre les deux valeurs d'avancements finaux.
0,25 point
Il faut donc utiliser la technique Romulienne pour sauver la
galaxie.
Philippe Morin 2005
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